Le texte français se trouve à la balise # Français.
ENGLISH
I must admit, I hadn’t really planned on diving back into the Harry Potter universe these days. And yet. Epic Games decided otherwise by offering Hogwarts Legacy, and I didn’t hesitate very long before clicking “acquire”. A lovely Christmas gift, clearly, from Epic and Warner Bros. Just for that alone, the experience already starts on a positive note.
Creating the character was quite a striking moment. I named my wizard Ithara Gaïan, without thinking too much about it, true to myself. What caught my attention fairly quickly was his resemblance to my brother. Not an exact copy, of course, but enough shared features for it to be obvious. That visual proximity strengthened my attachment to the character and, quite naturally, my involvement in the adventure. It’s easier to fully inhabit an avatar when it speaks to us in some way.
Very quickly, Hogwarts Legacy sets its atmosphere. The game takes its time. The cutscenes are polished, well-paced, and tell a story that is meant to be accessible yet intriguing. We play a young wizard… a special one. Different. The narrative insists on this point, and without revealing too much, you can feel that our character is not there by chance. The storytelling is effective, sometimes a bit safe, but well constructed enough to make you want to move forward, to learn more, to understand what lies behind this singularity.
The world itself is vast. Much more so than I had imagined. Hogwarts isn’t just a static backdrop: it’s a living place, full of corners, secrets, and details that clearly show the love poured into the license. The corridors, classrooms, moving staircases… everything contributes to that constant sense of wonder. And once you step outside the castle, the environment opens up even more. Forests, villages, winding paths: the game clearly encourages exploration, sometimes at the expense of pacing, but I don’t mind. I like taking my time.
As for the gameplay, it’s fairly easy to get to grips with. Maybe even a bit too much. You can feel that the game is designed for a broad audience. The PVE combat is dynamic but never truly punishing. No PVP in sight, and that’s probably for the best. The goal here isn’t competition, but adventure, learning, and personal progression. You move forward, unlock spells, improve your abilities, all without excessive pressure.
What I appreciate most is the overall atmosphere. A kind of magical cocoon, familiar yet renewed enough not to rely solely on nostalgia. Even when the game becomes predictable, it remains pleasant. It doesn’t try to revolutionize the genre, but to offer a coherent, immersive experience that respects its universe. And it works.
Is it a perfect game? No. Is it deep, demanding, and mature in all its themes? Not really either. But is it a sincere, generous good time, especially when it’s free? Absolutely. During the holiday season, it’s hard not to see Hogwarts Legacy as a well-wrapped gift, warm and almost comforting.
As for me, I’m continuing the adventure at my own pace, without rushing. Just for the pleasure of wandering through this world, wand in hand, and letting myself be carried by that gentle, comfortable immersion that sometimes does a lot of good.
Français
Je dois avouer que je n’avais pas spécialement prévu de replonger dans l’univers de Harry Potter ces jours-ci. Et pourtant. Epic Games en a décidé autrement en offrant Hogwarts Legacy, et je n’ai pas hésité très longtemps avant de cliquer sur “acquérir”. Un joli cadeau de Noël, clairement, signé Epic et Warner Bros. Rien que pour ça, l’expérience commence déjà sur une note positive.
La création du personnage a été un moment assez marquant. J’ai nommé mon sorcier Ithara Gaïan, sans trop réfléchir, fidèle à moi-même. Ce qui m’a frappé assez rapidement, c’est sa ressemblance avec mon frère. Pas une copie conforme, bien sûr, mais suffisamment de traits communs pour que cela saute aux yeux. Cette proximité visuelle a renforcé mon attachement au personnage et, presque naturellement, mon implication dans l’aventure. On s’approprie plus facilement un avatar quand il nous parle, d’une manière ou d’une autre.
Très vite, Hogwarts Legacy installe son ambiance. Le jeu prend le temps. Les cinématiques sont soignées, bien rythmées, et racontent une histoire qui se veut accessible mais intrigante. On incarne un jeune sorcier… particulier. Différent. Le scénario insiste là-dessus, et sans trop en dire, on sent que notre personnage n’est pas là par hasard. Le storytelling est efficace, parfois un peu sage, mais suffisamment bien construit pour donner envie d’avancer, d’en apprendre plus, de comprendre ce qui se cache derrière cette singularité.
Le monde, lui, est vaste. Bien plus que je ne l’imaginais. Poudlard n’est pas qu’un décor figé : c’est un lieu vivant, rempli de recoins, de secrets, de détails qui respirent l’amour porté à la licence. Les couloirs, les salles de classe, les escaliers mouvants… tout participe à cette sensation d’émerveillement constant. Et une fois sorti du château, l’environnement s’ouvre encore davantage. Forêts, villages, chemins sinueux : le jeu invite clairement à l’exploration, parfois au détriment du rythme, mais je ne m’en plains pas. J’aime prendre mon temps.
Le gameplay, quant à lui, est plutôt simple à prendre en main. Peut-être même un peu trop. On sent que le jeu s’adresse à un public assez large. Les combats en PVE sont dynamiques mais jamais vraiment punitifs. Pas de PVP à l’horizon, et ce n’est pas plus mal. Ici, l’objectif n’est pas la compétition, mais l’aventure, l’apprentissage, la progression personnelle. On avance, on débloque des sorts, on améliore ses compétences, sans pression excessive.
Ce que j’apprécie surtout, c’est l’atmosphère générale. Une sorte de cocon magique, familier mais suffisamment renouvelé pour ne pas être simplement nostalgique. Même quand le jeu devient prévisible, il reste agréable. Il ne cherche pas à révolutionner le genre, mais à offrir une expérience cohérente, immersive, respectueuse de son univers. Et ça fonctionne.
Est-ce un jeu parfait ? Non. Est-ce un jeu profond, exigeant, adulte dans tous ses thèmes ? Pas vraiment non plus. Mais est-ce un bon moment, sincère, généreux, surtout quand il est offert ? Clairement oui. En cette période de fêtes, difficile de ne pas voir Hogwarts Legacy comme un cadeau bien emballé, chaleureux, presque réconfortant.
Pour ma part, je continue l’aventure tranquillement, sans me presser. Juste pour le plaisir d’arpenter ce monde, baguette à la main, et de me laisser porter par cette immersion douce, confortable, qui fait parfois du bien.
Ithara Gaïan Principality of Bastion - Our Leit Motiv? Uniti Crescimus. Principality's site | Ithara's Artist Page | Principality's Discord | Our Twitch Channel
If you like music, you may find me on : Apple Music / Spotify / Tidal / Deezer / Youtube Music / ...